17H30 > 19H : atelier sur le consentement & intervention témoin actif-ve
ANA TIJOUX Figure emblématique du rap latino, Ana Tijoux s’est fait connaître grâce à son groupe Makiza avant d’entamer une carrière solo à succès. Désignée comme la Lauryn Hill d’Amérique Latine par les médias internationaux, Ana Tijoux est l’une des MC’s les plus respectées. Inspirée par les sonorités hip-hop des années 90, le jazz et le funk, elle ajoute à son rap des rythmes latinos et folkloriques. Ses textes piquants s’attaquent à la politique avec humour mais sans retenue.
MIMAA La scène Trap-latino peut désormais compter sur l’une de ses toutespremières représentantes, la chanteuse MIMAA. La jeune artiste française originaire d’Alès qui puise son inspiration dans ses origines espagnoles et italiennes, et dans les sonorités latines qui l’ont marqué au gré des rencontres. Après s’être produite dans des comédies musicales et sur de nombreux plateaux TV en tant que danseuse (Incroyable Talent,Danse avec Les Stars …), MIMAA décide de se lancer dans son projet solo. SARAH HEBE « La musique est la bande originale des luttes sociales ». Indépendant et témoin des bouleversements de la société argentine autant qu’acteur de ses mutations, dénonciateur de de ses injustices, le hip-hop percutant de cet artiste généreuse prouve que la résistance peut s’inscrire dans la lutte comme dans la fête. Sa force de caractère, son style unique, son flow ciselé, Sara Hebe le doit peut-être un peu à ses origines. La puissance et l’intransigeance des éléments de Patagonie semblent trouver un écho dans chacun de ses textes, dans ce corps monté sur ressort, contre vents et marées, dans cette poésie urbaine si personnelle, ce rap fusion des bas quartiers de Buenos Aires, nourri de carioca funk, de punk et bien sûr de cumbia. LA DAME BLANCHE De Pinar del Rio jusqu’à Paris, la chanteuse, flûtiste et percussionniste cubaine La Dame Blanche s’est imposée en quelques années comme une véritable alchimiste du hip-hop afro-latin. Derrière ce personnage, inspiré de légendes du monde entier, aussi présent dans la santeria cubaine, se révèle Yaite Ramos, fille de Jesus « Aguaje » Ramos, directeur artistique de l’Orquesta Buena Vista Social Club. Sa voix altière, son flow précis, sa grâce féline et le concours des esprits afrocubains, créent en concert une atmosphère unique empreinte de mysticisme.